À un peu moins d’un an des Jeux de Paris 2024, c’est toute la France qui se prépare à accueillir l’évènement sportif le plus prestigieux du monde. Le comité d’organisation est déjà très actif afin de mobiliser la population à se joindre à cette grande fête du sport. Bénévolat, appels à projets… les raisons sont nombreuses pour adhérer au mouvement. La meilleure : inciter les jeunes à se mettre au sport et à s’inspirer de ceux qui vont faire briller leur pays sur tous les terrains, que ce soit lors des Jeux olympiques ou des Jeux paralympiques.
Avec Marie Barsacq, Directrice Impact et Héritage de Paris 2024
La sensibilisation existe déjà à travers de nombreuses opérations sur tout le territoire. La semaine olympique et paralympique en est l’exemple le plus concret. C’est un évènement qui existe depuis très longtemps au calendrier de l’Éducation nationale et qui tient à cœur au Comité d’organisation de Paris 2024. « L’objectif est de faire connaître les JOP (Jeux olympiques et paralympiques) aux plus jeunes, de la maternelle au lycée », affirme Marie Barsacq. « Grâce à cette semaine autour de l’olympisme, nous souhaitons partager les valeurs du sport et faire découvrir des disciplines pas forcément accessibles à tous. C’est une sensibilisation qui va au-delà des stades puisque d’autres matières comme l’histoire sont mises en avant grâce à des récits de faits historiques ayant un lien avec l’olympisme. Nous avons mis en place un véritable outil pédagogique au service des écoles en liant matières et disciplines comme la physique et le tir à l’arc ou la géométrie et les terrains de sport. »
En 2023, la semaine olympique et paralympique avait pour thème l’inclusion par le sport, un moyen de mieux faire connaître les Jeux paralympiques qui souffrent encore d’une côte de popularité trop faible. Paris 2024 a lancé un appel à projets auprès des enseignants, beaucoup de ces projets avaient pour volonté de faire découvrir les para-sports. Marie soutient que « c’est l’opportunité d’organiser des rencontres entre valides et non-valides afin de partager les expériences et d’inciter tous les jeunes, peu importe leur situation physique et mentale, à se mettre au sport. Ainsi, nous avons mis en place le sport partage qui permet de participer à des initiations d’handisports. Nous avons également créé une plateforme sur Internet afin de retrouver toutes les informations et les outils disponibles sur generation.paris2024.org ».
Comment mieux inciter la jeunesse à pratiquer une activité physique qu’en partageant un moment privilégié avec un athlète de haut niveau ? C’est la réflexion sur laquelle s’appuie le Comité olympique et qui est largement soutenue par les sportifs professionnels ! Ils sont nombreux à avoir répondu présents afin d’aller témoigner dans les écoles, qu’ils soient valides ou non. « Là aussi, l’objectif est de promouvoir un mode de vie plus actif et plus accessible à tous à travers des prises de parole et des initiations », précise Marie Barsacq.
« La génération 2024 doit se bouger pour encourager les plus jeunes et les motiver à leur tour. Au-delà des deux semaines de compétition, il s’agit de profiter de l’événement pour renforcer durablement la pratique physique et sportive de la population et favoriser l’éducation, le vivre-ensemble et l’inclusion sociale. Nous organisons pour cela des partenariats avec des fédérations qui représentent l’héritage principal pour le mouvement sportif. »
Paris 2024 est très attaché aux clubs, c’est pourquoi le Comité a proposé aux fédérations de financer l’un de leurs projets et d’accompagner son développement jusqu’aux Jeux. Marie précise : « Nous souhaitons mieux valoriser le rôle social des fédérations, au-delà de la haute performance. C’est grâce aux clubs que le sport peut être mis à l’honneur et qu’il peut bénéficier d’un véritable héritage. C’est également à travers les fédérations et les clubs que nous pouvons agir pour lutter contre le déficit de notoriété des Jeux paralympiques.
Heureusement, l’engouement grandit chez les jeunes et les encadrants. Il existe une mobilisation de plus en plus forte autour de la journée paralympique qui monte en puissance chaque année. Les rencontres organisées par le sport scolaire permettent de changer le regard du handicap auprès des enfants. Le handisport fait désormais partie intégrante du système scolaire comme on le voit avec la labellisation « Génération 2024 » créée par l’Éducation nationale, qui offre la possibilité aux clubs de venir sensibiliser dans les écoles à la pratique pour les personnes en situation de handicap.
Plus les enfants s’y mettent tôt, plus faciles sont leur pratique et leur épanouissement en grandissant. Les clubs doivent développer le sport loisir grâce à des formations proposées aux éducateurs et aux membres afin de leur permettre de mieux accueillir les jeunes handisports. Il existe aujourd’hui 20 clubs à Paris qui se développent pour être plus inclusifs, il y en aura 3 000 en France d’ici les Jeux de Paris 2024 ! »
Le label Génération 2024 permet à toutes les écoles, établissements scolaires et établissements de l’enseignement supérieur qui partagent la conviction que le sport change les vies de bénéficier de l’énergie unique des Jeux. Délivré par le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, il vise à développer les passerelles entre le monde scolaire et le mouvement sportif pour encourager la pratique physique et sportive des jeunes. Être labellisé Génération 2024, c’est s’engager à mettre plus de sport dans le quotidien des jeunes et permettre au plus grand nombre de vivre l’aventure olympique et paralympique dès maintenant.
Photo: © NICOLAS JACQUEMIN
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